Rapide résumé de la Nuit des Cabornes :
700 inscrits (550 sur le 25 & le reste sur le 50) -
Parcours du jour : 25km - 1200D+
Conditions météo idéales
Départ à la tombée de la nuit (20h40)
Départ rapide comme à l'accoutumée sur cette course (250D+ sur 3,5km dès le départ), l'expérience m'a fait partir bien moins vite que d'habitude :-)
Au bout de 3 km, une tape amicale dans le dos: un ancien pensionnaire de Courir Nature me double...un certain Eric D. On discute 5' tout en courant: il avait l'air en super forme: on se donne RV à l'arrivée pour les traditionnelles bières !
Puis la course s'enchaîne, avec de nombreuses parties montantes en marchant dans les monts d'Or, au milieu des fameuses Cabornes.
Un peu d'histoire : Cabornes !!!
Une résille de pierres
Des constructionsAu cours des siècles passés, bergers, cultivateurs ou vignerons ont patiemment épierré les champs afin de les cultiver. Avec les pierres remontées par le soc de la charrue, ou bien extraites des nombreuses carrières, les hommes ont bâti chemins, enclos et murs de soutènement. Ces constructions ont marqué le paysage en formant une résille de pierres.
Un savoir-faire
Les anciens possédaient un savoir-faire qui leur permettait de « monter » les murs des cabornes, de décaler les dalles les unes sur les autres puis de les resserrer pour faire un toit résistant et imperméable.
Les anciens possédaient un savoir-faire qui leur permettait de « monter » les murs des cabornes, de décaler les dalles les unes sur les autres puis de les resserrer pour faire un toit résistant et imperméable.
Un usage quotidien
Dans les cabornes, on s'abritait des intempéries, on venait manger ou se reposer, soigner les bêtes, entreposer les outils. On s'y installait pour quelques nuits ou pour une saison, quelquefois pour y vivre et y mourir...
Dans les cabornes, on s'abritait des intempéries, on venait manger ou se reposer, soigner les bêtes, entreposer les outils. On s'y installait pour quelques nuits ou pour une saison, quelquefois pour y vivre et y mourir...
Un sous-sol favorable
A Poleymieux affleure un calcaire jaune dont l'exploitation est facilitée par le fait qu'il se détache en plaques de faible épaisseur : les dalles et les dallettes.
A Poleymieux affleure un calcaire jaune dont l'exploitation est facilitée par le fait qu'il se détache en plaques de faible épaisseur : les dalles et les dallettes.
Pas mal de bénévoles et autres supporters le long du parcours.
Les descentes étaient dures et surtout la nuit les a rendu très techniques et douloureuses pour les jambes
!
Au final un très beau temps pour moi ( moins 12' vs 2014) et une 49ème place :-)
Un très beau Trail, avec de superbes paysages et vues sur les bords de Saône: à faire avec le club, si toutefois ça ne tombe pas le même WE que celui d'Ambérieu-en-Bugey
Merci à Thomas pour son rapide résumé et encore Bravo, A+ pour de nouvelles news
Le Reporter
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire